L'hallucinante vidéo de Frédéric Lefebvre
Ecrire un livre ne suffit plus pour les hommes politiques qui veulent faire passer leur message. Il leur faut désormais mettre leurs talents d'acteurs en scène dans des vidéos scénarisées pour annoncer la sortie de leur livre. C'est ce que viennent de faire coup sur coup Frédéric Lefebvre et Nicolas Dupont-Aignan.
Frédéric Lefebvre nous parle, avec des mots écrits
L'actuel secrétaire d'État auprès de la ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, chargé du Commerce, de l'Artisanat, des PME, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation sort un nouveau livre, intitulé Le Mieux est l'ami du bien. «J'ai choisi de leur dévoiler ce qui me fait avancer dans ce monde politique dont je n'apprécie pas toujours les codes. Comme eux! Je prends du plaisir à en donner aux autres. J'ai depuis toujours le désir ardent de participer à changer la vie des Français», indique-t-il sur son site web.
En atterrissant directement sur la chaîne Dailymotion de Frédéric Lefebvre, l'internaute est accueilli par une vidéo, commençant par les mains de Frédéric Lefebvre rédigeant sans doute un nouveau paragraphe humaniste pour son livre. Accompagnant ses mouvements, un piano joue, fond sonore plutôt calme pour un homme qui agit pour améliorer notre vie quotidienne.
On le voit alors souriant, les lunettes stylées bien calées sur le nez. Plus tard, la caméra dévoile quelques-uns des livres qui ont une place sur ses étagères: Kissinger, qu'il retire de sa bibliothèque pour en lire quelques pages, mais surtout, côte à côte, deux ouvrages de Nicolas Sarkozy. D'autres plans montreront un poster pop, ou encore, alors que Frédéric médite, un poster de Serge Gainsbourg.
Le Mieux est l'ami du bien - Frédéric Lefebvre by fredericlefebvre
Nicolas Dupont-Aignan et l'arnaque du siècle
Le fondateur du parti Debout la République, Nicolas
Dupont-Aignan, sort pour sa part un livre intitulé L'euro, les banquiers et la mondialisation: l'arnaque du siècle. Tout est dit dan... Lire la suite sur Slate.fr