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mardi 15 mars 2011

Les Vampires et leurs salauds de complices, par Claude Salomon LAGRANGE



Comment qualifier les auteurs de cette boucherie commise contre une famille juive, à Itamar, en Judée et Samarie ? De monstres ? De barbares ? De vampires ?

Aucun mot ne parvient à qualifier ce qui a été perpétré contre la famille Fogel, ni la nature de ces assassins.

Nous sommes en présence d'une espèce prédatrice comme il n’en existe pas dans le monde animal, et qui se caractérise par une totale inhumanité.

Les barbares islamistes sont les vampires de notre époque.

La violence, la destruction, le sang, la mort, est leur religion et cela devrait susciter chez tout individu doué d’humanité, révulsion et condanmation sans appel.

Mais dans une humanité à la dérive qui est fascinée par le macabre, le choquant, le malsain, l’amoralité, et qui jouit perversement de la mise en scène de la transgression de tous les tabous, on s’enthousiasme sur l’obscène en trouvant de perverses justifications aux vampires islamistes.

A ces sanguinaires, il leur faut tuer pour assouvir leur haine du Juif, sans qu’aucune cause pathologique ne vienne les exonérer de leur barbarie, ni qu’aucune revendication ne puisse justifier. Sauf à considérer que ce qui leur sert religion produise à grande échelle de la sociopathie.

Que des individus, et plus encore, que des enfants meurent dans une guerre, c’est toujours une terrible tragédie, de quel que côté que l’on se trouve dans un conflit.

Quand il y a des « victimes collatérales » dans un conflit, la mort d’un être humain, c’est toujours une consternation.

Quand des milliers de japonais périssent dans une catastrophe naturelle, c’est une grande tristesse.

Quand un enfant palestinien meurt du fait qu’il est utilisé comme « bouclier humain » par le Hamas ou par d’autres affidés barbares, c’est une perte humaine aussi grande que pour n’importe quel autre enfant.

Mais dans le cas de cette famille qui a été égorgée à Itamar, à la tragédie de ces assassinats s’ajoute l’horreur d’une monstruosité infinie.

Quiconque s’est fait violence pour visionner des vidéos que l’on trouve sur le net où il est question d’égorgements et de décapitations par des islamistes – excusez-moi de m’attarder sur ces détails indécents pour que l’on prenne bien la mesure de la nature inqualifiable de ces actes -, pendant le temps qu’il faut à ces monstres pour égorger leurs suppliciés, calmement, ils opérent en psalmodiant des passages du Coran et en invoquant « allahou akbar ».

Mais quel est donc ce Moloch qu’il leur faut abreuver de tant de sang ?

Car ces monstres islamistes ne tuent pas comme des soldats tuent à la guerre, ce qui en soi est toujours terrible.

Ces crimes par égorgement ne sont pas des crimes à considérer, au pire, comme de graves faits divers. En effet, l’égorgement ou la décapitation sont les modes d’exécution prônés par les textes historiques coraniques comme un moyen de répandre le règne de l’islam et dont usait leur « prophète » Mahomet en personne. Ces actes sont inspirés.

Selon des dires attribués à leur « prophète », « les assassins qui opèrent de cette manière dans le but (répandre le règne de l’Islam) sont considérés non seulement comme de « bons » Musulmans, mais comme les « meilleurs » des Musulmans ».

« Tuez-les tous, massacrez-les, égorgez-les, pillez leurs biens et leurs terres », tel est en substance leur jihad sanctifié par leur religion d’amour de la haine et de tolérance de l’intolérable inhumain.

J’entends venir les cris d’orfraie des « belles âmes » dhimmitisées pour assurer que ce n’est pas « ça » l’islam ».

Pourtant, dans cette tuerie comme dans d’autres, c’est ce qui est invoqué et nous n’entendons pas de désaveu de la part d’une quelconque autorité réligieuse musulmane.

Bien heureusement, tous les musulmans ne sont pas des islamistes égorgeurs, mais ceux qui ne le sont pas ne se manifestent pas, ou si discrètement, pour dire leur rejet de ces « frères » maudits qui les menacent aussi, comme ils s’en prennent à d’autres minorités partout ailleurs.

Ces appels aux meurtres et le recours aux sacrifices humains nous renseignent sur la nature archaïque et barbare de cette croyance diabolique et criminogène, mélange de Moloch et de Satan, destinée à hébéter l'intelligence humaine en répandant partout la haine, la destruction et la désolation par son goût immodéré pour les festins de sang.

Que les arabes de Palestine aient une cause à défendre – quoique l’on en pense -, est-ce que cela peut légitimer une telle lâcheté et une telle sauvagerie que de s’en prendre à des enfants – Yoav âgés de onze ans, Elad âgé de quatre ans et Hadas âgée trois mois -, puis à leurs parents – le père Oudi et la mère Ruth – dans leur sommeil ?!

Quand on sait que des enfants, dans leur maison, en présence de leurs parents, croient que rien ne peut leur arriver de mal, que l'on essaie d'imaginer l’inimaginable pour un esprit sain, cette situation d'épouvante de ces malheureuses victimes face à leurs vampires, dans la nuit. On ne veut pas l’imaginer.

Ces islamobarbares, dans leur horrible manière de tuer des civils, montrent à qui à des yeux pour voir et une intelligence pour s’émouvoir, à quel point ils sont dépourvus de la qualité d'être humain, et à quel point ils sont de ce fait incapables de traiter l’autre comme un semblable en humanité.

Ils immolent, égorgent, hommes, femmes et enfants sans distinction, comme ils le font avec des moutons, pour abreuver leur dieu du sang des innocents.

Mais nous savons que de nombreux médias et autres soutiens d’imposteurs idéologiques qui se sont définitivement auto proclamés « progressistes », se font les complices de ces barbares qu’ils honorent comme des « résistants ». Des résistants à l’idée d’humanité. Plus leur crime est monstrueux, et plus il sert leur monstrueuse cause.

Les avez-vous entendus, les avez-vous vus ces prétendus « humanistes » à ce rassemblement qui s’est tenu à Paris pour exprimer son abomination de tels actes, sa douleur, sa colère et sa solidarité avec la famille de ces suppliciés ?

Aujourd'hui, les nouveaux « porteurs de valises » organisent le boycott d’Israël et préparent des flottilles de la honte, de surcroît avec les deniers publics. Ils ont déserté depuis longtemps toute morale et toute décence et sont inculpabilisables !

Le sang des innocents, dès lors que c’est du sang juif, sert d'encre maudite à des journalistes sans éthique, pour justifier une sorte de justice sommaire exercée sur les Juifs, éternellement supposés coupables, qualifiés pour l’occasion de « colons », pour ainsi travestir les pires assassins en « redresseurs de torts ».

- L’AFP avait donné le ton, comme à son habitude, en évoquant : « Une famille de colons israéliens a été assassinée à coups de couteaux samedi avant l'aube en Cisjordanie occupée par des assaillants présumés palestiniens ».

- Le Nouvel Observateur, pour ne citer que ce média, en « digne » héritier de ses fondateurs « porteurs de valises » au moment de la Guerre d’Algérie qui cautionna moralement et sponsorisa le FLN qui égorgea, émascula, écorcha, fit bouillir, mutila, découpa en morceaux, écartela par dizaines de milliers des familles entières d’européens et des musulmans qui refusaient de les suivre, s’est encore surpassé pour traiter cette tragédie.

- Sur le plan politique, le gouvernement français « condamne avec la plus grande fermeté l’assassinat de cinq membres d’une famille israélienne (hier) dans la « colonie » d’Itamar, en « Cisjordanie ».

Et en même temps, il pousse la collusion avec les assassins en laissant entendre que les Juifs n’ont pas à être là, dans « la colonie d’Itamar », et à l’indécence de mêler à ses hypocrites condoléances, un appel à Israël « à la plus grande retenue ».

Nul ne condamne la nature terroriste de cette tuerie ! Nul n'evoque la nationalité française des victimes !

- Quant aux condoléances de l'Autorité palestinienne, fidèle à son double discours, elles interviennent au moment où à Gaza est inauguré, avec la caution de l'UNWRA, un centre de jeunes qui porte le nom d'une femme kamikaze qui s'était faite exploser le 27 janvier 2002 à Jérusalem, tuant un homme et en blessant 150 personnes.

Tous ces faits sont l'une des hontes de notre époque qui ne s’effacera pas des consciences.

Car non seulement on veut chasser les Juifs de leur Terre, mais on veut, encore, les faire passer pour des envahisseurs, des usurpateurs, afin que leur soit retiré jusqu'au moindre mouvement de pitié dans leurs malheurs en les chargeant de cette calomnieuse accusation de « colonialisme ».

Ces médias qui prétendent informer en parlant des légitimes habitants sur leur Terre de « colons », privent ainsi les victimes de leurs noms et de leur visage pour en faire des « choses » déshumanisées.

C’est ainsi que dans nos démocraties repues et perverties, la liberté de la presse pour certains médias, comme pour certains idéologues, c’est la liberté d'être sans morale et sans décence, sales et méprisables. C’est la définition du salaud.

C’est ainsi que les vampires islamistes, avec la complicité de certains médias et de l’idéologie palestiniste qui a subjugué l’espace politique, constituent une conjonction de l'immonde.

Après ce pogrom qui vient en écho de tous ceux commis par des arabes en Israël, nous avons vu, non pas grâce aux médias français, que dans des villes et des villages arabes, c’était soir de fête au moment de l’annonce de la tuerie, klaxons de joie et distributions de friandises à Gaza et dans les territoires palestiniens !

Connaissons-nous, ailleurs, des armées ou des peuples se réjouissant des morts d’adultes et d’enfants ? Je n’en connais pas.

Dans quelques jours, à l’occasion de Pourim, nous allons nous rappeller la funeste mémoire d’Aman.

Il nous sera difficile de nous réjouir sachant que ces enfants auront été privés de cette fête qui leur est consacrée, comme leurs parents ne pourront plus voir leurs enfants s’égayer à Pourim.

Mais l’amour de la vie chez les Juifs sera toujours plus fort, envers et contre tout, que l’amour de la mort chez nos ennemis. Nous espérons, parce que nous savons qu’en chaque époque les Juifs sont confrontés à un nouvel Aman, et qu’à chaque fois, nous avons raison du mal.

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